Kinshasa, 4 Mai 2025- Moins d’un an après sa nomination comme ministre de l’Industrie et du développement des PME dans le gouvernement Suminwa, Louis Watum Kabamba dresse un bilan éloquent. Nommé par le président Félix Tshisekedi le 12 juin 2024, il n’a pas tardé à imprimer une dynamique nouvelle dans deux secteurs clés pour le développement de la RDC, notamment à l’industrie et l’entrepreneuriat. À la croisée de la vision politique et de la rigueur du privé, il façonne une nouvelle gouvernance tournée vers l’impact.
Avant d’entrer dans l’arène politique, Louis Watum Kabamba s’était taillé une réputation de gestionnaire d’exception dans le secteur minier. De la mine de Yatela au Mali à celles de Kibali, Kamoa et KICO, il a supervisé des projets d’envergure sur le continent, démontrant son expertise en gestion de projets complexes.
Cette expérience, il l’a transposée avec efficacité à la sphère publique, insufflant aux ministères de l’Industrie et des PME une culture de résultats. Son objectif : faire émerger une économie congolaise souveraine, compétitive et inclusive.
Entrepreneuriat : du concept à l’action
Dans le secteur entrepreneurial, les réformes engagées sont profondes et structurantes :
• Les structures d’accompagnement, autrefois concentrées à Kinshasa, sont en cours d’extension dans les 26 provinces.
• La dématérialisation du processus de création d’entreprise est en cours, permettant bientôt aux citoyens de créer leur entreprise depuis chez eux.
• L’assistant virtuel E-KAZI, première du genre en RDC, guide désormais les entrepreneurs dans leurs démarches.
• La campagne “Étudiant-Entrepreneur” sensibilise les jeunes dans les universités à l’esprit d’initiative.
• Les arriérés de financement dus aux structures clés (ANADEC, FOGEC, APROCM) ont été débloqués après plus de quatre ans.
• Un mécanisme de nivellement automatique a été instauré pour éviter de nouveaux retards.
• Une relecture de la loi sur la sous-traitance et un avant-projet sur le contenu local sont en cours, en concertation avec des experts.
• Des milliers de PME informelles sont en cours de formalisation pour accéder aux financements et aux marchés publics.
Une politique industrielle ambitieuse et structurée
La relance du secteur industriel est l’un des piliers de son action :
• Sept Zones Économiques Spéciales (ZES) sont désormais actives, avec un focus sur l’industrialisation ciblée : Maluku, Kin Malebo, Kiswishi, Musompo…
• De nouvelles unités voient le jour : cimenterie du Kasaï, centrale solaire près de Kinshasa, unité de fabrication de batteries, tricycles, etc.
• Des fleurons industriels longtemps à l’arrêt reprennent vie : la Sucrière du Kivu a redémarré après 20 ans, et la relance de la SOTEXKI est en cours.
• Le financement du BNPI et de l’AZES, longtemps irrégulier, est désormais garanti grâce à une réallocation du FPI.
Grâce à une diplomatie économique alignée sur la vision du chef de l’État, Louis Watum Kabamba a séduit des investisseurs étrangers. Plusieurs milliards de dollars d’investissements ont été mobilisés, et il a été honoré du Prix IETO Business, remis par des acteurs économiques indiens, pour la qualité de son engagement.
Engagement national : solidarité et patriotisme économique
Fidèle à l’appel du Président pour l’effort de guerre à l’Est du pays, il a mobilisé les structures de son ministère. Une plateforme numérique, SolidaritéEst, a été créée pour fédérer les initiatives citoyennes. Mieux encore, les membres de son cabinet ont consenti à verser la moitié de leur salaire à cette cause nationale. Plusieurs entrepreneurs congolais ont été soutenus dans le cadre de cette mobilisation.
En quelques mois seulement, Louis Watum Kabamba a imposé un style, une méthode et des résultats. Loin des discours, son leadership repose sur des actes concrets, en phase avec les priorités du gouvernement SUMINWA. De la relance industrielle à l’émancipation entrepreneuriale, il incarne l’ambition d’un Congo debout, porté par ses propres ressources et talents.