Kinshasa, 5 juin 2025- Une nouvelle vague de désinformation orchestrée par certains médias réputés proches de l’opposition et de groupes rebelles s’abat sur les figures majeures de la gouvernance économique en République démocratique du Congo. Après Miguel Kashal, Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Sous-traitance dans le secteur Privé (ARSP), c’est au tour de Jules Alingete, ancien chef de service, de Inspection générale des finances, de faire l’objet d’attaques ciblées.
L’article signé récemment par Edmond Izuba, et dont le financement proviendrait de réseaux liés à l’opposition politique et à des cercles rebelles, s’inscrit dans une stratégie manifeste de discrédit du gouvernement. En s’attaquant à deux de piliers des réformes économiques et de la bonne gouvernance, cette publication vise à saper les efforts engagés sous l’impulsion du Président Félix-Antoine Tshisekedi.
Des accusations graves, telles que le « pillage », sont portées contre Miguel Kashal Katemb et Jules Alingete sans aucune preuve tangible. Pour de nombreux observateurs, il s’agit clairement d’une opération de manipulation politique orchestrée par des acteurs hostiles aux avancées réalisées, notamment dans la lutte contre la corruption et dans le soutien aux PME locales.
Miguel Kashal, à la tête de l’ARSP, a impulsé des réformes majeures qui ont permis la signature de plus de 1.400 contrats de sous-traitance en faveur des entreprises congolaises, la mobilisation de plus de 2 milliards de dollars américains au profit de l’économie nationale, ainsi qu’une amélioration significative de l’accès des PME congolaises aux marchés, renforçant ainsi leur rôle dans le tissu économique du pays.
De son côté, Jules Alingete a marqué son passage à l’Inspection générale des finances par une rigueur inédite dans le contrôle de la gestion des ressources publiques. Grâce à ses audits, plusieurs millions de dollars ont été récupérés pour le Trésor public, instaurant ainsi une nouvelle culture de redevabilité au sein de l’administration.
Les tentatives de saper l’autorité morale et institutionnelle de ces réformateurs ne doivent pas faire oublier les progrès tangibles enregistrés au cours des dernières années. Les laboratoires de désinformation, désormais identifiés, semblent déterminés à détourner l’attention de l’opinion publique des résultats obtenus dans la transparence de la gestion publique et le soutien aux entrepreneurs locaux.
Le peuple congolais, de plus en plus conscient des enjeux politiques et économiques, reste le principal allié dans cette bataille pour une gouvernance intègre. Face aux manipulations, la vérité des faits demeure la meilleure arme.