Kinshasa, 14 mars 2024- Invalidé par la Cour constitutionnelle, le député national élu de Lubumbashi, Jéthro Muyombi appelle la Cour constitutionnelle à corriger les erreurs matérielles commises lors de ses contentieux.
» Pourquoi alors le choix de AV ? C’est arbitraire. D’où la nécessité de corriger cette erreur matérielle« lâche-t-il à travers son service de communication.
Il a évoqué quelques erreurs, notamment le fait de ne pas être informé ni notifié par la haute Cour. Jethro Muyombi révéle également que la liste de Yannick Lumbu n’avait pas droit au partagesm des sièges. Et même si tel était le cas , Jethro Muyombi n’était pas le dernier sur la liste de tous les candidats députés nationaux en terme des voix.
« Ni informer ni notifier par la Cour constitutionnelle de l’existence de cette cause là. En plus, raisonnons par absurde ou par improbable, que la liste du regroupement politique de Mr Lumbu avait droit à l’attribution des sièges. Dans ce cas là, la liste Av n’était pas la dernière sur l’ordre d’arrivée. Et Jéthro MUYOMBI n’était pas non plus le dernier en nombre de voix obtenues par tous les candidats élus plutôt un de meilleurs élus de la ville de Lubumbashi« , a-t-il déclaré.
Yannick Lumbu retombe dans ses travers?
Les électeurs et les proches de Jéthro Muyombi Tshimbu ont rappelé que depuis la législature de 2018, Yannick Lumbu a toujours été proclamé élu toujours par la Cour constitutionnelle et non par la CENI.
Habitué, vraisemblablement à faire recours et faire tomber la Cour constitutionnelle dans les erreurs, Yannick Lumbu est revenu une fois de plus avec force pour se faire passer débuté national.
« Il a toujours été secouru par ses siens à la cour constitutionnelle auxquels il donne bons et merveilles. Donc, il passe toujours par voie de recours. C’est son plan qu’il faudra cette fois-ci et à tout prix déjouer, démasquer. Il faut dénoncer pou le bien de la justice de notre pays. Jéthro MUYOMBI TSHIMBU à travaillé jour et nuit contre vents et marées pendant que LUMBU dormait et attendait voir les tiens à la Cour Constitutionnelle «