Kinshasa,9 novembre 2023- Depuis bientôt trois jours, la toile est renflée par la rumeur faisant état de prétendue agression dont serait victime monsieur Abdoulaye de la part de son épouse, maître Gisèle Ngungwa, ministre du genre, famille et enfants dans la province du haut-katanga.
En effet, d’après nos sources, monsieur Abdoul a connu une crise de tension pendant les heures de travail et a été plus vite acheminé à l’hôpital par son secrétaire ( Djuma) pour des soins intensifs.
Ce malheur qu’a connu l’époux de la ministre provinciale du genre, a été plus vite commenté différemment dans les réseaux sociaux. La rumeur s’est répandue comme une traînée de poudre, certains des internautes malveillants sont allés jusqu’à accuser maître Gisèle Ngungwa à avoir infligé à son mari ( Abdoul) des coups jusqu’à le mordre au doigt.
De la récupération politique!
Par ailleurs, l’accident connu par monsieur Abdoul a été récupéré par les détracteurs politiques de Gisèle Ngungwa qui n’ont pas tardé à monter une cabale contre sa personne.
Ces derniers en connivence avec les détracteurs de monsieur dans le milieu professionnel, ont à leur tour lancé une histoire invraisemblable l’accusant d’avoir violenté son mari et père de ses enfants, alors que la vérité serait toute autre.
Gisèle Ngungwa une avocate chevronnée, au bareau du haut-katanga, ses compétences lui ont valu le poste de dircaba en charge des questions juridiques du gouverneur de province Jacques Kyabula Katwe avant d’être nommée ministre du genre, familles et enfants.
Politicienne, elle est connue pour son intégrité, son dévouement et son engagement en faveur de la justice sociale et de la promotion de la femme. Elle travaille sans relâche pour les droits des femmes et des enfants et a lancé de nombreuses campagnes d’intérêt public au ministère provincial du genre famille et enfants, maître Gisèle Ngungwa est tout simplement victime d’une campagne de diabolisation, visant à nuire à sa personne, à la veille des élections auxquelles elle prendra part.
Lopinion est donc avisée et invitée à ne pas prendre au sérieux la fausse rumeur répandue dans les réseaux sociaux.
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