Kinshasa, 14 août 2024- La nouvelle a fait le tour des réseaux sociaux, suscitant des réactions partagées : Elie Mpanzu Kibisawala, jeune prometteur en provenance de l’AS Vita Club, n’a pas réussi son test au sein de l’équipe B de Genk.
Le catalyseur avait rejoint le club belge sur une invitation pour une période d’essai de 30 jours, espérant y faire ses preuves après deux saisons en Afrique. Malgré une performance encourageante, marquée par un but mémorable lors d’un match amical, le verdict du club s’est révélé implacable.
Les espoirs de Mpanzu se sont heurtés à une réalité impitoyable : son âge. À 22 ans, il est sur le point de franchir le cap des 23, un détail qui a pesé lourd dans la balance lors de l’évaluation par le staff technique. Le directeur sportif, dans sa volonté de rajeunir l’effectif, a établi des critères stricts, stipulant que seuls les joueurs de moins de 22 ans pouvaient prétendre à une place au sein de l’équipe B, considérée comme la pépinière de l’équipe première de Genk.
Pour Eli Mpanzu, cette situation constitue un tournant difficile. Après avoir quitté les Moscovites de Kinshasa, où il a forgé son identité de joueur, il se retrouve maintenant à la croisée des chemins.
Interrogé par un média de la place, le joueur a confirmé l’échec de son test, tout en exprimant sa détermination à poursuivre sa carrière en Europe, écartant l’idée de revenir en Afrique. La quête de nouvelles opportunités s’impose comme un défi crucial pour lui, qui doit désormais naviguer dans un marché du football compétitif et exigeant.
Alors que le monde du football est souvent perçu comme impitoyable, l’histoire d’Eli Mpanzu rappelle que derrière les chiffres et les critères se cachent des trajectoires humaines. Pour l’instant, Elie Mpanzu reste sur le devant de la scène, espérant qu’une nouvelle porte s’ouvrira bientôt, lui permettant de continuer à écrire son histoire sur les terrains européens.
Rédaction