Kinshasa, 07 août 2024- Près de deux mois après la perte tragique de sa femme Blanche, le pasteur Marcelo Tunasi se retrouve plongé dans une polémique inattendue sur les réseaux sociaux.
Alors que le deuil de sa compagne suscite une vague de soutien parmi ses fidèles, des internautes proposent une idée controversée : que le pasteur épouse l’influenceuse Bénédicte Kalengayi, une personnalité médiatique bien connue. Cette suggestion, loin de passer inaperçue, déclenche des débats passionnés et met en lumière les dynamiques sociales complexes entourant la vie privée des figures publiques.
La proposition soumise par certains internautes a rapidement fait le tour des plateformes de discussion, générant des réactions variées. Si quelques-uns y voient une opportunité pour le pasteur et l’influenceuse d’unir leurs forces et de bénéficier mutuellement de leur notoriété, d’autres dénoncent ce qui semble être un opportunisme déplacé.
Pour beaucoup, la douleur du deuil est encore fraîche, et l’idée qu’il serait approprié de penser à un remariage dans un délai si court semble choquante. Bénédicte Kalengayi, interpellée par cette situation, a exprimé son incompréhension sur les réseaux sociaux, lançant un appel à ceux qui la critiquent : “Les Congolais, je vous ai fait quoi ? Venez m’expliquer.”
Les avis des internautes sont profondément divisés. D’un côté, certains soutiennent que le pasteur Tunasi devrait avoir la liberté de choisir un nouveau partenaire sans se soucier des jugements extérieurs. De l’autre, les critiques soulignent qu’il est inapproprié d’envisager un nouvel engagement matrimonial si rapidement après la perte d’une partenaire.
Pour l’instant, le pasteur Tunasi garde le silence face à cette tempête médiatique. Son absence de commentaire laisse planer le doute sur sa réaction à ces suggestions, tout en renforçant l’idée que, dans des moments de chagrin, la vie personnelle d’un individu devrait être respectée.
Alors que les débats se poursuivent sur les réseaux sociaux, cette situation soulève une question essentielle : jusqu’où peut-on aller dans l’examen de la vie privée des figures publiques, surtout lorsqu’elles traversent des périodes aussi délicates ?
Rédaction